Étudiants : l’avenir que leur réserve-t-il et quel est l’intérêt d’un bachelor ?

Alors que les périodes d’examens approchent à grands pas, nos chers jeunes commencent à avoir les méninges en tel état d’action que plus rien ne les intéresse que réviser. Et c’est d’ailleurs avec surprise que certains parents prennent sur le fait leurs enfants, habituellement si flegmatiques, en pleine séance de lecture approfondie d’un recueil de formules mathématiques… S’intéresseraient-ils finalement à ce que l’avenir leur réserve ? Après tout, ne serait-ce pas plutôt qu’ils sont bien au courant de quand et comment s’y prendre ? Bien sûr, leurs ambitions et espérances sont déjà bien formées, ce qui n’empêche pas de les accompagner au long de ce processus déterminant. Ainsi, afin de pouvoir conseiller au mieux nos jeunes pousses, il est nécessaire de ne pas se fier à ce qui a été, mais plutôt d’anticiper ce qui sera.

Les diplômes ouvrent-ils des portes ?

Alors qu’à la fin des années 90 on pouvait entendre « un diplôme ouvre des portes, ne laisse pas cette chance te filer entre les doigts », aujourd’hui il est important d’apporter une nuance à cette annonce. En effet, force est de constater que la situation du monde du travail n’est plus aussi idyllique qu’elle fût, au grand damne des générations grandissantes, qui elles, voient l’avenir comme un champ des possibles. Ainsi, soyons honnêtes, avoir un diplôme ne permet pas intrinsèquement d’obtenir du travail, toutefois, il permet de s’en approcher.
Ainsi, il est important de comprendre qu’aujourd’hui, un diplôme de type BAC permet de ne pas voir certaines portes se fermer. Et n’est-ce pas suffisant ? Car s’il était une chose aisée de trouver un emploi, nous ne connaitrions pas aujourd’hui un des taux de chômage les plus élevés de l’histoire. Mais les choses ne sont pas si sombres qu’elles paraissent. Car si la reconnaissance par l’état des savoirs issus de l’enseignement secondaire est une chose, la possibilité de s’affirmer en tant que membre à potentiels dans la grande machine qu’est le monde du travail est bel et bien présente.

Les Bâchelors comme clés du succès

Ainsi les temps ont changé, il faudrait bien des efforts pour ne pas le remarquer. Et le monde de l’enseignement supérieur voit lui aussi ses possibilités évoluer. En plus des cursus universitaires standards, ou des diplômes nationaux rendus accessibles dans les écoles supérieures, apparaissent depuis quelques années les Bâchelors. Déjà en place dans les pays les plus évolués de la planète, le diplome Bachelor connait un attrait pour la jeunesse qui n’est pas sans raisons. En plus de sa valeur en termes de transmission des connaissances, le Bâchelor c’est avant tout une ouverture à l’international, et une pratique de l’enseignement similaire aux meilleurs lieux d’études de la planète. Fort d’un corps enseignant composé de professionnels le Bâchelor assure l’accès à l’excellence, tout en favorisant un avenir aux multiples facettes, qu’il tient à chacun de mettre en place. Non content d’être un diplôme à forte valeur ajoutée, le Bâchelor est reconnu dans la majorité des pays, et permet ainsi une plus facile malléabilité du cursus.
Aussi, avec sa forte valeur professionnalisante, les étudiants issus d’un Bâchelor ne tardent pas à trouver des postes à la mesure de leur diplôme, de leurs attentes, de leurs ambitions. Favorisé par une spécialisation pointue, l’approche de l’étude n’est plus alors que théorique. Il s’agit d’obtenir une base de connaissances suffisante pour pouvoir l’adapter au plus grand panel possible de directions à prendre.

En résumé, la situation estudiantine en France connait depuis quelques années une refonte totale, que seules les idéologies du passé viennent contrarier. En effet, la nouvelle forme de diplôme, encore trop tenue sous silence, le Bâchelor, n’a pas fini de faire parler d’elle : à vrai dire elle ne fait que commencer.
Cursus professionnalisant, possibilités ouvertes sur l’international, et un enseignement plus précis que les diplômes proposés jusqu’alors, telles sont les valeurs que le Bâchelor a su imposer comme la solution la plus adaptée aux nouveaux fonctionnements du monde du travail, quel que soit le secteur. Notons enfin que la force du Bâchelor est de pouvoir être incrémenté d’une seconde (voire d’une troisième) spécialisation. En effet, étalé sur deux années, le Bâchelor favorisera l’apparition de membres « terrain », qui, pour une meilleure efficacité se doivent d’avoir plusieurs cordes à leurs arcs.


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